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Source: Bulletin SHAP, tome XXIX (1902), pp. 195-215.

 

[Avec notes de M. Frédéric Biret (F.B)]

 

INFORMATION

Ordonnée en 1310 par le Roi d'Angleterre

AU SUJET DES SURPRISES FAITES A SON PRÉJUDICE PAR LE ROI DE France EN PÉRIGORD, LIMOUSIN ET QUERCY

 

Par Paul HUET

 

Article publié dans le Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, tome XXIX, 1902. Egalement en tiré à part que j’ai consulté à la BnF. Ce dernier comporte des notes manuscrites à l’encre qui corrigent ou complètent le texte initial de Paul Huet (F.B.).

 

 

En examinant à la Bibliothèque nationale les copies que fit faire au siècle dernier M. de Bréquigny dans ses recherches à la Tour de Londres, nous avons rencontré un factum qui nous a paru d'une très grande importance pour l'histoire du Périgord, du Limousin et du Quercy. C'est une information faite en 1310 par Me Arnaud du Codex (de Codico), juge en Périgord pour le roi d'Angleterre, au sujet des surprises faites au préjudice dudit roi d'Angleterre par le roi de France.

L'histoire de l'occupation anglaise dans ces pays est encore si mystérieuse qu'il nous semble très intéressant de mettre au jour les pièces qui s'y rapportent. Nous ne sommes pas du reste le premier qui ait saisi l'importance du document en question. Il n'avait pas échappé à Dessalles, qui avait feuilleté la collection Bréquigny et qui fait une longue mention de cette pièce dans son Histoire du Périgord (tome II, p. 112.) Enfin, M. Grellet-Balguerie (un de nos confrères que la Société a eu le malheur de perdre en 1896), a pris une copie de cette charte au British Museum, copie qui a été envoyée par le Ministère de l'Instruction publique comme don posthume à M. Villepelet. Très mal écrite, cette copie ne pouvait être publiée dans l'état où elle se présentait. Sur la demande du comte de Saint-Saud, auquel nous en exprimons ici notre reconnaissance, elle nous a été communiquée par M. Villepelet et nous a été d'un grand secours pour mettre au point le texte de Bréquigny, dont la correction est loin d'être impeccable. Le vicomte Gaston de Gérard, dont tous ceux qui s'adressent à lui connaissent l'empressement à rendre service, a bien voulu collationner ce texte avec nous. Enfin, M. Champeval de Vyers, pour lequel la géographie féodale du Limousin n'a plus de secrets, nous a beaucoup aidé à identifier les noms du Limousin et du Quercy contenus dans cette pièce. Nous espérons qu'avec les annotations que nous y avons ajoutées, elle présentera encore plus d'intérêt aux amateurs. Nous pensons en outre que pour son intelligence, il est utile de la faire précéder de quelques notes historiques.

Malgré l'avis de ses conseillers, Louis IX, dans l'intérêt de la paix de son royaume, fit, en 1259, avec le roi d'Angleterre, Henri III, un traité connu dans l'histoire sous le nom de Paix de Paris: à la condition que ledit roi d'Angleterre se déclarerait son homme-lige; c'est-à-dire qu'il lui rendrait hommage pour tous ses fiefs situés en France et renoncerait à tous ses droits sur la Normandie, l'Anjou, le Maine, la Touraine, le Poitou et une partie de la Saintonge. Par contre, Louis IX lui restituait le Périgord, le Limousin et la partie méridionale de la Saintonge avec la suzeraineté sur l'Angoumois et la réversibilité de l'Agenais et du Quercy. Cependant la couronne de France conservait la garde et les régales des évêchés, l'hommage direct des communes et des seigneurs qui le réclameraient, et maintenait des sénéchaux royaux dans les pays restitués. C'est probablement ce qui, au début du factum, fait dire au juge du roi d'Angleterre, que le comte de Périgord, l'évêque de Périgueux, la ville du Puy-Saint-Front, l'abbé de Sarlat, sont privilégiés.

Voici, du reste, le texte de quelques-uns de ces articles que nous relevons dans l'ouvrage de Thomas Rymer (Fœdera, Acta Publica, etc., tome I, Londres 1714):

 

 

« Louis, par la grâce de Deu, Rois de France .... avec nostre chier cusin, le noble Henri roi de Angleterre, avons pais faicte .... c'est à savoir:

 

Que nos donons au devandit roi de Angleterre, e à ses heirs, e à ses successors, toute la droiture, que nos aviens, e teniens en tes trois Evesches, e es'cites. c'est à dire de Limoges, de Cahors, e de Perragort, en liez, e en demaines; sauf l'omage de noz frères, s'il aucune chose i tienent, dont il soient nostre home; e sauves les choses que nos ne poons mettre hors de nostre maine par lettres de nos, ou de nos ancessors; ....

Et encore, donons au devant dit roi d'Engleterre la value de la terre d'Agenois en deniers, chascun an, selonc ce qu'ele sera prisée à droite value de terre par prodes homes nomez d'une parte e d'autre; e sera la paie faite au Temple à Paris, chacun an, .... Et, s'il evenoit que cele terre eschaist de la contesse Johane de Poitiers a noz ou a noz heires, nos ou nostre heir, seriens tenu de rendre la au roy d'Angleterre ou a ses heires; e rendre la terre, seriens quite de la ferme;  . ....

Derechief il sera enquis de bonne foi e de plome, a la requeste le roi d'Engleterre, par prodes homes a ce eslus d'une part et d'autres, se la terre, que li cuens de Poitiers tient en Caorsin, de par sa fame, fu de l'Roi d'Angleterre donee, ou baillee, aveque la terre d'Agenois, par mariage ou par gagiere, ou toute ou partie a la suere qui fu mère le conte Remon de Tholos darreinement mort; E, s'il estoit trove que il eust ensi este, e cele terre eschroit a nos, ou a nos heires, del'deces la contesse de Poitiers, nos la donriens au roi d'Angleterre, ou a ses heires; ....

Derechief, après le deces la contesse de Poitiers, nos, ou nostre heir roi de France, donrons au roi d'Angleterre ou a ses heires, la terre, que le cuens de Poitiers tient ores en Xancton outre la rivière de Charente, en fiez e en demaines, qui soient outre la Charente, se ele ne nos eschaoit, nos purchaceriens en bone manere, par eschange, ou autrement, que li roi d'Angleterre, e si heir l'auront; .... E de ce, que nos au roi d'Angleterre et a ses heirs avonz donc en fiez e en demaines, li rois d'Angleterre, e si heir feront homage lige a nos, e a nos heirs rois de France; e ausi de Bordiaus, e de Baone, e de Gascoigne, e de tote la terre que il tient deca la mer d'Angleterre en liez, e en demaines, e des Isles (s'aucune en ja) que li rois d'Angleterre sieigne, qui soient de l'Roialme de France; e ternira de nos come Pers de France, e dux de Acquitaigne; ....

Et, par ceste pais faisant, a quite e quitie de tot en tot, li rois d'Englelerre, e si dui fils, a nos e a nos heirs, e a nos freres, e a lor successours, por soi, e por ses heires, e por ses successours, se ils roys d'Angleterre ou ses ancessors aucune droiture ont, ou orent onges en chose que nos teignens, ou teignissens onqes, ou nostre ancessor, ou nostre frère, c'est a savoir en la Duchie, e en tote la terre de Normandie: en la Conte e en tote la terre d'Anjou, de Toraine, e de l'Maine; e en la Conte e en tote la terre de Poitiers; ou aillors en aucune partie de l'Roiaume de France, ou des Isles (se aucunes ou tenoms nos, ou nostre frere, ou autres de par nos, ou de par els) et toz arrérages.

. ....

E, por ce que ceste pais firmement. . .... soit tenue a toz jours, li rois d'Angleterre a fait jurer, en s'ame, par ses procurours especials a ce establiz ....; e de ce donra seurte li rois d'Angleterre des chevaliers des terres devant dites (meisme que nos li avons donees) e des Villes, selonc ce que nos l'en requirrons.

E la forme de la seurte, des homes e des villes, por le roy d'Angleterre, si sera tele; ilz jurront qu'il ne donront ne conseil, ne force ne aide, par quoi li roi d'Angleterre, ne si heir venissent encontre la pais; . .... e sera renovelee ceste seurte, de dis ans a dis ans, a nostre request, ou de noz heirs rois de France »

 

La première fois que ce serment aurait dû se réitérer, c'était en 1369; mais saint Louis préparait alors sa deuxième croisade, et il partit au commencement de 1270, sans avoir réclamé l'exécution de cette stipulation .... Enfin, un nouvel arrangement intervint en 1279, comme on verra plus loin.

 

Grâce à ce traité, une paix à peu près complète dura plus de trente aus entre les deux souverains. Cependant, la rivalité ne cessa d'exister et elle se manifesta par la création des bastilles. La première fut créée en Périgord, en 1260, par Alphonse, comte de Poitiers et de Toulouse, frère de saint Louis, elle reçut le nom de Villefranche d'Agenois et se nomme maintenant Villefranche-de-Périgord. En 1267, les Anglais créaient celle de Lalinde; en 1287, celle de Beaumont; en 1289, celle de Montpazier; enfin celles de Molières et de Fonroque à une date qui n'a pu être déterminée. Ajoutons que la fondation de la bastille de Saint-Louis par le roi de France est de 1308.

Après la mort, survenue en 1371 d'Alphonse, comte de Poitou et de Toulouse, frère de saint Louis, de qui ressortissait le comté d'Agenois, Henri III, roi d'Angleterre, demanda à Philippe-le-Hardi la possession complète de l'Agenois. Elle fut assurée à Edouard Ier par un nouveau traité du 28 mai 1279, connu sous le nom de Paix d'Amiens, qui l'affranchit en même temps du serment des villes et des seigneurs.

Tout alla bien pendant environ quinze ans; mais une querelle entre marins anglais et normands mit le feu aux poudres en 1293. Les grands ports d'Angleterre lancèrent leurs navires en course contre les Normands. Une flottille de vaisseaux français, après avoir usé de représailles, fut entièrement défaite et les cargaisons confisquées. En outre, les corsaires anglais entrèrent dans La Rochelle dont ils pillèrent les magasins. Le sénéchal de Périgueux pour le roi Philippe-le-Bel les cita devant son tribunal et ordonna le séquestre provisoire de Bordeaux, d'Agen et d'autres villes et forteresses. Les officiers du roi d'Angleterre traitèrent ces citations par le mépris et maltraitèrent les huissiers du sénéchal et ceux qui interjetèrent appel au Parlement de Paris. Pour répondre à ces violences, le roi de France cita, en 1293, 1e roi Edouard à comparaître en personne à Paris. Celui-ci, occupé de ses démêlés avec l'Ecosse, délégua en sa place son frère Edmond, comte de Lancastre, avec pleins pouvoirs pour « redresser et amender les torts faits au roi de France et aux siens. » Il enjoignit, en outre, à son sénéchal, de rendre au roi de France toute la terre de Gascogne à sa volonté. Malgré toute cette bonne volonté, l'âme cupide de Philippe-le-Bel ne pouvait étre satisfaite que par la réunion de l'Aquitaine à la couronne. Aussi, à peine le sénéchal et les prévôts anglais, obéissant à l’ordre de leur maître, eurent-ils ouvert les portes de Bordeaux, Bayonne, Agen et autres villes au connétable Raoul de Nesle, que le roi de France, séant en parlement, déclara le roi d'Angleterre contumace pour ne pas s'être présenté au jour assigné et prononça la confiscation de la Guyenne.

C'était une ruse de procureur. Edouard, furieux, envoya ses hérauts déclarer à Philippe qu'il renonçait à son allégeance et n'entendait plus être son homme, parce que Philippe n'avait point observé les conditions de la paix jurée entre leurs ancêtres. En même temps, il convoqua ses barons pour l'aider à recouvrer sa terre. Mais ils ne répondirent pas à son appel. A la même époque, les Ecossais menaçaient la frontière anglaise, les Gallois se révoltaient. Edouard employa contre eux l'armée destinée à la France. L'année suivante, il remuait toute l'Europe pour susciter des ennemis à Philippe-le-Bel, mais sans résultat. Ce n'est que vers la fin de 1294 qu'il put porter la guerre en Guyenne. C'était chose facile, car la plupart des villes maritimes, soit qu'elles eussent à se plaindre du despotisme de Philippe, soit qu'elles fussent entraînées par leurs relations commerciales avec l'Angleterre, se soulevèrent à l'arrivée des lieutenants d'Edouard et appelèrent des garnisons anglaises. Mais les forces du roi de France, commandées par le connétable Raoul de Nesle et le cruel Charles de Valois, étaient tellement supérieures que la guerre devint tout-à-fait défavorable aux Anglais. Elle ne fut suspendue que par une sentence arbitrale du pape en 1298, par laquelle la trêve conclue peu auparavant fut indéfiniment prorogée jusqu'à ce qu'une paix perpétuelle put être établie. C'est à partir de cette époque que furent probablement pratiqués les empiétements dont il est question dans la pièce que nous publions aujourd'hui.

 

 

Informacio facta per Magistrum Arnaldum de Codico, judicem Petragoricensem, anno Domini M° CCC° X° de occupatis in Petragoricinio, Lemovicinio et Caturcinio (1), per Dominum Regem Francie et alios, in prejudicium Domini Regis Anglie.

(Bibliothèque nationale. — Moreau, vol. 643. — Collection Bréquigny, vol. 19. — Guyenne et Aquitaine, vol. X, f°81).

 

In Petragoricinio sunt privilegiati ante pacem habitam Parisius inter beatum Lodovicum quondam Regem Ffrancie et Dominum Henricum quondam Regem Anglie, comes Petragoricensis, Episcopus Petragoricensis et ville Podii de Petragoris et abbas Sarlatensis tam in capite quam in membris et consulalus ejusdem loci, et nonulli alii ante tempus dicte pacis, quod (2) scire possit. Dictus cornes renunciavit privilegio predicto quo ad castra sive loca de Vernhie (3), de Rocilha (4), de Sancto Michaele (5) et de Rilhaco (6), (cum pertinentiis eorumdem et in hiis nobis obedit idem comes) (7).

Obmissa fuerunt restitui in Petragoricinio castra et castellanie de Rainhaco (8), de Montinhaco (9) et locus Albeterre (10), et alia terra (11) quam habebat comes Marchiae in Petragoricinio et Lemovicinio et etiam terra (11) vicecomitatus Lemovicensis.

 

Occupata in Petragoricinio.

 

In istis supprisit Dominus Rex Ffrancie in Petragoricinio castrum et castellaniam de Moychidano (12), locum de Sorzaco (13), in parochia et pertinentiis cujus est constructa minime (14) bastida dicta Villafranca Sancti Ludovici (15), parochias de Montanhaco (16), de Belemas (17), Sancto Juliano (18), de Sancto Frontone de la Cremsa (19), de Salvitate (20), de Desvila (21), de Ponte Sancti Mameti (22), de Galmanes (23), et alias parochias castri et castellanie de Moychedano; et etiam extra illam castellaniam hospitale Sancti Antonii (24) et locum dictum Pizo (25) in prejudicium Domini Regis Anglie et Acquictannie Ducis, que omnia et singula, sint vel non sint de feodo vel retrofeodo dicti comitis Petragoricensis, sic privilegiatus dictus Dominus Rex Anglie et Dux Acquictannie habuit et tenuit post tempus dicte pacis palam et publice, pacifice et quiete, et etiam a triginta annis citra, quoad omnem ressortum et superioritatem, et commune in predictis levavit, sive levari fecit continue in omnibus locis et singulis predictis et adhuc facit; salvo quod Dominus Rex Ffrancie seu ejus gentes dictum Dominum Regem Anglie et Aquitanie ducem et ejus gentes impedit a pauco tempore citra in levatione dicti communis in loco de Sorzaco, et etiam ibi et alibi in omnibus juratis bastide dicti Sancti Ludovici, a tempore quo dicta bastida fuit incepta citra, et ressortum,obedientiam et superioritatem omnium et singulorum predictorum dictus Dominus Rex Ffrancie seu ejus gentes occuparunt a viginti annis supra et a triginta annis citra, et hec omnia poterunt clarius probari per Dominum Salomonem, quondam priorem de Manzaco (26), Dominum Eliam Hyterii (27) de Granolio (28), militem Heliam Thalayrandi (29), domicellum, Guillelmum Macinh (30) Arnaldum Petri (31) de Granolio, et per plures alios: per Poncium de Memhio (32) qui moratur apud Sanctum Michaelem (33), et per ejus fratrem qui moratur apud Vernhium, per Petrum La Costa qui moratur apud Clarum montem (34), per Guillelmum de Sancto Juliano, et ejus fratrem, Elyas Grifo, de Stissaco (35), Elyas Gerardi, de Stissaco, Dominum Salabrunum, de Stissaco, Ramundum Tornerii, de Stissaco, Arnaldum Motas de Bellovidere (36), de Stissaco, et per alios plurimos de Stissaco, Dominum Guillelmum de Engolisma (37), militem qui moratur prope Albam terram, Dominos Geraldum et Bertrandum Massola (38), milites de Sancto Âsterio et per plures alios burgenses burgi de Petragoris.

Et isti iidem vel plures ex eis viderunt Bernardum de Vilars (39) tenere locum de Sorzaco pro Domino Rege Anglie et Acquitanie Duce, eo tempore quo Dominus Brunus de Saya (9) erat senescallus Petragoricensis, Caturcensis et Lemovieensis pro dicto Domino Rege et Duce. In cujus quidem loci de Sorzaco pertinences, proprietatem, dictus Dominus Rex Ffrancie contradictam pacem supprisit, faciendo ibi bastidam predictam.

Item supprisit Dominus Rex Francie in Petragoricinio post tempus dicte pacis in dicti Domini Regis Anglie Ducis Aquitanie prejudicium civitatem de Petragoris, locum et parochiam Sancti Hilarii de Petragoris (41), loca de Monte agrerio (42), de lnsula (43), de Brantolmo (44), castrum superius de Bruzaco (45) et locum sive castrum dictum de Rorzaco (46) et in parochia honores dicti loci, scilicet de Vendyer (47), de Campania (48), de Montelh (49), de Annaco (50), de Botelha (51), Sancti Sebastiani (52), Sancti Pauli (53), et castrum et castellaniam de Burdia (54), cum parochiis de Biros (55), de Podio de Furchis (56), de Pausaco (57), Sancti Justi (58), Sancti Juliani (59), et omnes alias parochias et burgos castellanie de Burdilia, et in loco et pertinentes loci Sancti Johannis de Cola (60), et in omnibus istis locis et parochiis utebatur Dominus Rex Anglie et Dux omni superioritate et ressarte, et commune levabat, et gentes locorum et parochiarum predictorum vinibant ad assisias dicti Domini Regis et Ducis apud Sanctum Asterium (61); et predicta poterunt probari clarius per dictum Guillelmum Macinh de Stissaco, qui tenuit castrum de Burdilia predictum per biennium continuum pro Domino Bertrando Damera (62), qui erat tunc castellanus dicti castri pro Domino Guillelmo Reymundi de Sancto Desiderio (63), tunc senescallo Petragoricensi et per dictum Dominum Guillelmum de Engolisma, militem, qui fuit bajulus per triennium continuum in illis partibus pro dicto Domino Rege et Duce, et per Dominum Poncium Espleitat, militem de Podio-Normanno (64), qui aliquo tempore fuit locum tenens senescalli in Petragoricinio et tempore quo Dominus Brunus de Saya erat senescallus Petragoricensis et per Reymundum et Heliam de Burdilia, Audoynum de Creychac (65), Petrum Roberti domicellum, Dominum Petrum Roberti, militem de honore Burdilie, et per dictum Arnaldum Petri de Granholio qui scit qualiter Petrus de Vitrinis (66), ejus avunculus, tenebat assisias palam et publice in dicto loco Sancti Johannis de Cola pro dicto Domino Rege et Duce.

Locus a Maiolo (67) cum pertinentiis suis tenetur mediocriter a comite Marchiae et a vicecomite Lemovicensi.

Locus Albeterre erat comitis Marchie et supprisit idem Dominus Rex Ffrancie in Petragoricinio post tempus dicte pacis civitatem Petragoricensem in qua post tempus dicte pacis Dominus Bertrandus de Cardalhaco, senescallus Domini Regis Anglie, Aquitanie Ducis, palam et publice tenuit plures assisias, quod poterit probari per predictum Dominum Guillelmum de Engolisma, militem, et dictum Dominum Salomonem, priorem quondam de Manzaco, et per Dominum Reymundum de Aterio, militem, et per plures alios.

Item supprisit idem Dominus Rex Ffrancie in prejudicium dicti Domini Regis Anglie, Ducis Aquitanie, post tempus dicte pacis in Petragoricinio castra et castellanias de Bellovidere, de Biguaruppe (68), de Castro novo (69) et Dome veteris (70), et loca castellaniarum predictarum, que quidem castra et loca dictus Dominus Rex Anglie et Aquitanie Dux, tenuit palam et publice longis temporibus vel dictus Dominus Bertrandus de Cardalhaco, tunc senescallus cum eo; et dominus Humbertus Guy, tunc senescallus post dictum Dominum Bertrandum (71), et hoc probari liquide poterit per dictos Dominum Guillelmum de Engolismo, militem, dominum Reymundum de Aterio, Arnaldum Motas, Guillelmum de Boychonio (72), Stephanum de Albarupe de Bellovidere, Arnaldum de Viridario (73) et per plures alios locorum predictorum.

Item dominus Rex Ffrancie post tempus dicte pacis in Petragoricinio acquisivit et sibi appropriavit dictam bastidam Sancti Ludovici et dominium et justiciatum de Insula, castrum et castellaniam de Burdilia, locum Albeterre, medietatem ville Sarlati, per pariatgium, licet illam medietatem vendiderit consulibus dicti loci et alibi (74), precio quinque milia (75) librarum Turonensium et bastidam Montis Dome (76).

Que omnia ista ad eo sunt notoria quod per se patent et non possunt aliqua tergiversacione selari.

Venditio predicta probari poterit per magistrum Fulconem de Soyris, Dominum Geraldum et Petrum Balensem et per plures alios.

Item sunt privilegiati in Lomovicinio, ab antiquo et ante tempus dicte pacis, episcopus Lemovicensis et ejus capellani, et consulatus civitatis ejusdem et abbatissa de Regula (77) in eadem civitate, abbatissa de Solmynhaco (78) prope Lemovicas et consulatus Sancti Guniani (79), et consulatus Brive.

Et in istis supprisit in Lemovicinio Dominus Rex Ffrancie, post tempus dicte pacis, villam de Lemovicis et locum de Sancto Valerico (80), de Petrabufierra (81), de Cutella (82), de Gimello (83) et de Sostena (84), et loca alia plurima in quibus Dominus Rex Anglie et Aquitannie Dux seu ejus gentes utebantur omni obedientia, quoad ressortum et superioritatem palam et publice, post tempus pacis predicte, assisias ibidem tenendo, et alios actus justiciales exercendo.

Quod omnia probari poterunt per Dominum Petrum de Quadris (FB. en marge de l’exemplaire de la BnF, est noté « des Cars ») qui moratur apud Ponprinhacum (85) prope Lemovicas,militem, et per Dominum Guillelmum Marches, qui moratur apud Noalhacum (86), prope pontem dicti loci, militem, Dominum Johannem de la Brossa, presbiterum, Petrum Pauli, Bernardum de Mayras, domicellum, Michaelem Jordani, qui moratur in civitato Lemovicensi et per plures alios tam civitatis quam castri Lemovicensis et aliorum locorum circumvicinorum.

Et specialiter quod Dominus Bernardus de Cardiliaco, miles, et Dominus Humbertus Guidonis, miles, et Dominus Hugo de Montemainardo, miles, senescallus in partibus illis pro dicto Domino Rege Anglie, assisias suas tenebant Lemovicenses ante januas monasterii Sancti Martini (87), et in cimiterio ecclesie Beati Michaelis dicti de Pestoria (88) et in loco dicto ad Cayros alias dicto Pelavezi (89).

Et predicti Dominus Petrus Quadris et Dominus Guillelmus Marches, miles, et Bernardus de Mayras, domicellus, fuerunt cum Domino Humberto Guidonis, tunc senescallo in captione castri de Gimello.

Item, post tempus dicte pacis et ab eo tempore citra, Bernardus de Monprezent, tunc consul castri sive ville Lemovicensis, una cum aliis conconsulibus dicti loci et pluribus aliis bonis viris loci, ejusdem nomine, claves novem portarum castri sive ville de Lemovicis Domino Eddoardo, tunc Rege Anglie, aportarunt apud Lemovicas in claustro Sancti Martialis (90) et eidem Domino Regi tradiderunt bidem in signum Dominii, dicentes: « Domine, ab antiquo vestri fuerimus et adhuc sumus et esse imperpetuum volumus et vestrorum claves istas magno tempore tenuimus, et sic eas pro nobis et vobis possedimus quod nemo eas hahere potuit hic usque a nobis »; et ibidem homagia et juramentum fidelitatis eidem Regi fecerunt.

Et hec probare poterunt per Dominum Guillelmum de Marchia, monachum et elemosinarium Sancti Martialis, Martialem Auderii, Andream Jay, Bertholomeum Saraceni.

Item Sancti Martialis (91), qui vocabatur Guillelmus de Marolio, pro temporalitate sua fecit, post tempus dicte pacis, Lemovicis in capitulo Sancti Martialis homagium pro tota temporalitate sua Domino Bernarde de Cardiliaco, tunc senescallo pro dicto Domino Rege Anglie, et hoc probare poterunt per Dominum Guillelmum de Marchia, helemosinarium predictum, et Dominum Guillelmum de Geti, monachum Sancti Martialis, tunc sacristam Sancti Valerici, et Dominum Elyam, Lalbencha, tunc priorem de Calerio (92) et quasi per omnes monachos et burgenses antiquos monasterii et loci predictorum.

Item quod poat tempus dicta pacis Hugo Lamassua pro Domino Rege Ffrancie dictum Bruiac, servientem in loco de Sancto Valerico pro dicto Domino Rege existentem et utentem, de dicto loco cum armis expulit violenter, et hec et plura alia de premissis probari poterunt per dictum Dominum Guillelmum de Geti, monachum, Petrum Beraud, domicellum, et Stephanum Fancot, et per plures alios de Sancto Valerico.

De omnibus et singulis predictis debent scire veritatem: Dominus Chaussier.

 

Appellaciones in Petragoricinio.

 

Appellantes sunt in Petragoricinio Guillelmus de Sancto Asterio in quadam causa quam habebat in assisia de Sancto Asterio contra Oliverum de Sancto Asterio, fratrem suum.

Item appellantes sunt in Petragoricinio Aymericus de Menemhaco (93) a quadam sententia diffinitiva lata in dicta assisia Saneti Asterii contra dictum Aymericum, pro Domino Raymundo de Monteinciso, milite, et in dictis causis appellacionum partes inter se litigant absque verecundia Domini Regis Anglie Aquitanie Ducis, salvo quod senescallus Petragoricensis pro Domino Rege Ffrancie in casu appellationis dicti Guillelmi absque mandato speciali domini regis Ffrancie, de attemptatia cognoscere visus fuit et in prejudicium dicti Holiveri et curie dicti Domini Regis, ut dicit, facta per dictam curiam in pluribus revocavit.

Appellans est Gasto de Gontaldo, Dominus de Badafollo (94), falso asserens se appellasse super defectu juris a Domino Garcia de Saumonte (95), locum tenente domini Arnaldi de Caupena, senescalli Petragoricensis pro dicto domino rege et duce.

Appellans est Raymundus Ayraldi, qui ob omicidium per eum commissum in personam Elye de Bosseran, detinetur, et istam appellationem emisit Elyas Ayraldi, consanguineus dicti Raymundi, nomine ejusdem Raymundi, ut conjuncta persona, ejusdem ne fieret justicia de dicto Raymundo, et inhibicio facta super hoc gentibus dicti Domini Regis et Ducis per senescallum Domini Regis Ffrancie absque mandato speciali Domini Regis Ffrancie impendit super hoc justitiam fieri.

Appellans est in Lemovicinio preceptor Domus de Lescaar (96) a quadam sententia diffinitiva, contra eum lata in assisia de Uzerchia pro rectore ecclesie d'Escamelhs (97).

Acquisivit Dominus Rex Ffrancie in Lemovicinio a quinque annis citra, per pariagium, medietatem civitatis Lemovicensis et medietatem ville Sancti Leonardi, alias dicte de Noalhaco et medietatem ville Sancti Aredii (98).

Item ab heredibus magistri Geraldi de Malomonte acquisivit dominus Rex Ffrancie a quinque annis citra castra de Casliceto (99), de Caslucio Capriolis (100), castrum Cherine (101), castrum de Corbafino (102).

Item fecit in Lemovicinio bastidam dictam de Maloleone (103), quam ad manum suam tenet; que premissa sunt notoris.

Item retinet in Petragoricinio ea que scquuntur, videlicet quod virtute pacis tertio habite inter Reges in assignacione trium milium librarum pro certis summis assignavit quoad omnem justiciatum, loca et parochias de Trapis (104) et de Pratis (105), et quoad ressortum loca et parochias de Bessia (106) et de Vauro (107) in diocesi Petragoricensi; que loca et parochias dictus Dominas Rex Ffranciae quoad predicta sub manu sua tenet et virtute litterarum suarum super hoc habitarum tenetur dicta locata et parochias Domino Regi Anglie et Duci Aquitanie liberare vel escambia dare competentia pro eisdem, et hec probari possunt liquide per litteras predictas, et per magistrum Arnaldum de Codico, seniorem de Salviaco (108), Eliam de Cermeto (109), domicellum, magistrum Bernardum de Bonavilla de Bellovidere, Dominum Guillelmum Bertrandi de Casalibus (110), militem, jurisperitos.

Et eodem modo et in prejudicium dicte tertie partis (111) retinet locum, sive castrum de Gramaco (112), castrum de Lobressaco (113), castrum de Alencorn (114), loca et parochias de Manhagiis (115), de Segalano (116), de Ocoyre (117), de Padoraco (118), de Salguis (119), de Mayranhaco (120), de Renhaco (121), Demyer (122), de Merhya (123) et medietatem loci et parochie de Aynaco (124) in diocesi Petragoricensi, que tenetur quoad ressortum liberare, vel escambia tradere, virtute litterarum super dicta assignacione dictorum trium millium librarum habitarum, vel dare escambia competencia pro eisdem, et hec probari liquide poterunt per litteras predictas, et per magistros Fulconem et Gualhardum de Soyris (125), jurisperito, Hugonem de Hordella, Dominum Bertrandum de Godorio (126), militem, et alios quamplures.

Item supprisit dictus dominus rex Ffranciae in prejudicium dicti domini Regis Anglie et Aquitanie ducis et contra formam dicte tertie partis (127) in diocesi Caturcensi, villam sive locum de Salinaco (128), Sancti Albini (129), de Haubardo (130), cum pertinentiis suis, et reperia de Fontada (131), de Clopiaco (132) et de Costa Ransta (133), et loca sive reperia de Pradello (134) et de las Prencinas (135) et de Nalhaco dicto Losyancal (136), prope Hymat Garda (137), que omnia sunt virtute assignacionis predicte, et esse debeant dicti domini regis Anglie et Aquitanie ducis, et ea quoad ressortum aliquo tempore possedit, que omnia per dictas litteras probabuntur, et per predictos magistros Arnaldum, Bernardum, Fulconem, Gualhardum, Hugonem, jurisperitos, per dominum Raymundum de Aceno (138), militem, et per Geraldum de Via et alios quamplures.

Item supprisit idem dominus Rex Ffranciae in diocesi Caturcensi loco et parochias de Blas (139), de Altomonte (140), versus partes de Orlhaco (141), de Rocilhcum (142), de Valrusier (143), d'Amielhs (144) prope Caturcum, et de Cornu (145), et in castellania Domini de Bedinio (146) plures alias parochias, in prejudicium domini regis Anglie et Aquitanie ducis, et a viginti annis citra, et hec probari poterunt et per Eliam et Raymundum Achonis de Barda (147), Guillelmum de Rodelar (148), Petrum de Lancoy (149), Guillelmum de Ruppe, Unnanum de Curtibus (?) (150), dominum Guillelmum Johannis, militem.

Item habet et tenet dominus Rex Ffrancie in prejudicium dicti domini Regis Anglie et Aquitanie Ducis, contra pacem primo habitam inter Reges, in diocesi Caturcensi: locum sive bastidam de Monte Cabrerie (151) cum pertinentiis suis, quas pertinentias sunt parochie de Cassanhis (152), Sancti Caprarii de Palus (153), de Cassanhaco (154), castrum et castellaniam de Pestilhaco (155), et multe alie paroehie, que omnia fuerunt de Comite Tholose, et in et de illa parte dicti comitatus que est citra Olcum (156); que notoria sunt, et nichil ominus probari possunt liquide per dictos Bertrandum et Gualhardum de Cardiliaco, milites, Dominum Guillelmum Bernardi, militem, et alios quamplures, Dominum Bertrandum de Godorio.

Item supprisit locum de Rupe-Amator(is) (157) in Caturcinio, a tempore dicte prime pacis citra, quod liquide probare potest per milites proxime supra scriptos.

 

 

Paul HUET.

 

 

(1) Les formes Petragoricinio et Lemovicinio sont peu usitées. Nous les avons cependant adoptées parce qu'elles sont bien en rapport avec la forme Caturcinio qui se trouve dans le texte. Elles se rencontrent surtout dans les pièces d'origine anglaise.

(2) La copie Grellet-Balgtierie, au lieu de quod porte quantum qui nous paraît mieux approprié au sens de la phrase.

(3) Vergt, chef-lieu de canton, arrondissement de Périgueux (Dordogne).

(4) Roussille, hameau, commune de Douville, canton de Villamblard, arrondissement de Bergerac (Dordogne).

(5) Saint-Michel de Villadeix, commune, canton de Vergt, arrondissement de Bergerac (Dordogne).

(6) Reilhac, ancien nom du hameau de Gensille, commune de Manzac, canton de Saint-Astier, arrondissement de Périgueux (Dordogne). (Source: Dictionnaire de Gourgues)

(7) Tout ce membre de phrase entre parenthèses a été omis dans le texte de Bréquigny, nous l'avons trouvé dans la copie Grellet-Balguerie.

(8) Ainsi dans le texte de Bréquigny, ce nom n'ayant pour nous aucune signification, nous pensons qu'il faut le remplacer par le mot Baynaco qui se trouve dans la copie Grellet-Balguerie.

Beynac et Cazenac, commune, canton et arrondissement de Sarlat (Dordogne).

(9) Montignac, nous pensons qu'il s'agit de Montignac le Petit auquel Archambaud III, comte de Périgord, avait, quelques années auparavant, octroyé des privilèges et franchises probablement dans le but d'y fonder une bastille. Ce bourg, réuni avec Menesterol, forme aujourd'hui une commune dans le canton de Montpont, arrondissement de Ribérac (Dordogne).

(10) Aubeterre-sur-Dronne, chef-lieu de canton, arrondissement de Barbezieux (Charente).

(11) La copie Grellet-Balguerie porte alia castra, ce qui parait plus correct.

(12) Mussidan, chef-lien de canton, arrondissement de Ribérac (Dordogne).

(13) Sourzac, commune, canton de Mussidan, arrondissement de Ribérac (Dordogne).

(14) Dans la copie Grellet-Balguerie, au lieu de minime, il y a una.

(15) Saint-Louis, commune, canton de Mussidan, arrondissement de Ribérac (Dordogne).

(16) Montagnac-la-Crempse, commune, canton de Villamblard, arrondissement de Bergerac (Dordogne).

(17) Beleymas, commune, canton de Villamblard, ut supra.

(18) Saint-Julien-de-Crempse, commune, canton de Villamblard, ut supra.

(19) Contrairement à l'indication contenue dans le dictionnaire du vicomte de Gourgues qui identifie Saint-Front de la Crempse avec Saint-Front de Pradoux près Mussidan, je croirais qu'il s'agit ici de Saint-Front-du Noyer ou de Clermont-de-Beauregard, village dont il est question dans un titre de 1567, cité par Lespine dans son recueil sur le château de Clermont (BN. Fonds Périgord, v. 51).

(20) La Sauvetat-Grasset, écart, commune de Douville, canton de Villam-blard, arrondissement de Bergerac (Dordogne).

(21) Douville, commune, canton de Villamblard, ut supra.

(22) Le Pont Saint-Mamet, village, commune de Douville, ut supra.

(23) Inconnu: Dessalles suppose, mais sans donner aucune preuve à l'appui qu'il s'agit de Villadeix, dont l'emplacement est resté inconnu. (FB. en marge, a la plume a été rajouté sur l’exemplaire de la BnF, le commentaire suivant: à identifier avec Garmareix, sect. de la cne de Beleymas ou Cne de Beleymas.)

(24) Hôpital du Saint Esprit, commanderie de Saint-Antoine, au bourg de la Madeleine de Bergerac. (F.B. Cette note est rayée dans l’exemplaire de la BnF et remplacé par Hôpital de Saint-Antoine de Pizou, village aujourd’hui du département de a Gironde. Voir Ste Aulaye XXIX (1902)p 33. C’est un des membres de la commanderie générale de St Antoine de Mirand, cne de Cumond, appartenant à l’ordre des hospitaliers de St Antoine de Viennois).

(25)  Pizon, lieu-dit, commune, de Clermont de Beauregard, canton de Villamblard, arrondissement de Bergerac, (Dordogne). (F.B. mention rayée et remplacée par Pizou (le), commune du canton de Montpon, arrondissement de Ribérac)

(26) Manzac, commune, canton de St-Astier, arrondissement de Périgueux (Dordogne).

(27) Itier; on trouve depuis le milieu du XIIIe siècle jusqu'à la fin du XIVe, plusieurs membres de cette famille qualifiés damoiseaux et chevaliers de Grignols. Vers le milieu du XIVe, ils devinrent seigneurs de Frateaux.

(28) Grignols, commune, canton de Saint-Astier, arrondissement de Périgueux (Dordogne).

(29) Peut-être Hélie Taleyrand, sire de Grignols, fils de Boson.

(30) Le mot Matih qui se trouve dans les copies de Bréquigny et de Grellet-Balguerie, doit être identifié avec Macinh ou Massinh. Les Massinh étaient des damoiseaux d'Estissac. Il existe encore un lieu de la Massinie, commune d'Issac.

Guillaume Massinh, donzel d'Estissac dès 1285, était flls de Bertrand Massinh, donzel, et de Bertrande d'Auberoche. (B. N, Fonds Périgord 168, Taillefer, f° 32; et Fonds Latin, 9138.)

(31) On trouve en 1285: Arnaud Pierre, donzel, fils d'autre Arnaud, chevalier de Grignols. (B.N. Fonds Périgord, vol. 51 Arch. du château de Beauséjour.)

(32) Meymy, nom d'une famille qui habitait à cette époque la région de Grignols.

(33) Dans la copie Grellet-Balguerie, il y a Sanctum Antonium, au lieu de Sanctum Michaelem.

(34) Clermont-de-Beauregard, commune, canton de Villamblard, arrondissement de Bergerac (Dordogne).

(35) Estissac, ancienne forteresse dont on ignore aujourd'hui l'emplacement. Il est très possible qu'elle se trouvait à la place du hameau de Campagnac, commune de St-Hilaire-d'Estissac, canton de Vilamblard, ut supra.

(36) Belvès, chef-lieu de canton, arrondissement de Sarlat (Dordogne).

(37) Au XVIIe siècle s'est éteinte une famille d'Angoulesme qui possédait, non loin d'Aubeterre, le fief de Curat, dépendant de la chàlellenie d'Yviers (Charente). Ce devaient être des descendants de ceux qui sont cités dans le texte, et, étant donnée la similitude des armes, une branche des anciens comtes d'Angoulême.

(38) Il existe encore un hameau de la Massoulie, dans la commune de Saint-Astier. Il y eut aussi des Massole, damoiseaux et chevaliers de Grignols.

(39) Il y avait un maynement du nom de Vilards, paraisse de Chantérac.

(40) Brun de Saie ou de Faye, chevalier, sénéchal de Périgord, Quercy et Limousin, pour le roi d'Angleterre, mentionné par Dessalles (Histoire du Périgord, II, 42), à propos d'un conflit au sujet du prieuré de Sourzac.

(41) Saint-Hilaire, ancienne paroisse de la banlieue de Périgueux.

(42) Montagrier, chef-lieu de canton, arrondissement de Ribérac (Dordogne).

(43) Lisle, commune du canton de Brantôme, arrondissement de Périgueux (Dordogne).

(44) Brantôme, chef-lieu de canton, ut supra.

(45) Bruzac, hameau, commune de St-Pierre-de-Côle, canton de Thiviers, arrondissement de Nontron (Dordogne).

(46) Bourzac, village, commune de Vendoire, canton de Verteillac, arrondissement de Ribérac (Dordogne).

(47) Vendoire, ut supra.

(48) Champagne, commune réunie à celle de Fontaines en 1832, canton de Verteillac, arrondissement de Ribérac (Dordogne).

(49) Le Grand-Monteil, village, commune de Gouts-Hossignols, arrondissement de Ribérac (Dordogne}.

(50) Probablement Auriaco, Auriac-de-Bourzac, commune, canton de Verteillac, arrondissement de Ribérac (Dordogne).

(51) Bouteilles, commune à laquelle on a annexé celle de Saint-Sébastien en 1825, canton de Verteillac, ut supra.

(52) Saint-Sébastien, section de la commune Bouteilles-Saint-Sébastien, canton de Verteillac, ut supra.

(53) Saint-Paul-Lizonne, commune, canton de Verteillac, ut supra.

(54) Pro Burdelia, Bourdeilles, commune, canton de Brantôme, arrondissement de Périgueux (Dordogne).

(55) Biras, commune, canton de Brantôme, ut supra.

(56) Puy-de-Fourches, section de la commune de Sencenac et Puy-de-Fourches, canton de Brantôme, ut supra.

(57) Paussac, section de la commune de Paussac et Saint-Vivien, canton de Montagrier, arrondissement de Ribérac (Dordogne).

(58) Saint-Just, section de la commune de Chapdeuil et Saint-Just, canton de Montagrier, ut supra.

(59) Saint-Julien-de-Bourdeilles, commune, canton de Brantôme, arrondissement de Périgueux (Dordogne).

(60) Saint-Jean-de-Côle, commune, canton de Thiviers, arrondissement de Nontron (Dordogne)

(61) Saint-Astier, chef-lieu de canton, arrondissement de Périgueux (Dordogne).

(62) Dans le texte de M. Grellet-Balguerie il y a Baniera.

Un acte du Trésor des Chartes de 1307 nous apprend que Guillaume de Maumont, chevalier, héritier d'Hélie de Maumont, seigneur de Bourdeilles, en partie, bailla au roi les châteaux de Bouteilles, Chalus, etc., en échange de Châteauneuf, en Auvergne, et du château de Moret, au diocèse de Sens. Peut-être, en 1310, un Barrière était-il pour le roi capitaine du château de bourdeilles.

(63) Saint-Dizier, ancienne paroisse du diocèse de Périgueux, dépendant de l'archiprêtré de Bouniagues, village de la commune de Cavarc, canton de Castillonnès, arrondissement de Villeneuve-sur-Lot (Lot-et-Garonne).

(64) Puynormand, commune, canton de Lussac, arrondissement de Libourne (Gironde)

(65) Creyssac, commune, canton de Montagrier, arrondissement de Ribérac (Dordogne).

(66) Pierre de Veyrines, damoiseau de Grignols, qui testa en 1293. (B. N., Fonds Périgord, 174.)

Veyrines, commune, canton de Vergt, arrondissement de Périgueux (Dordogne).

(67) Probablement Mareuil, chef-lieu de canton, arrondissement de Ribérac (Dordogne).

(68) Bigaroque, section de la commune du Coux, canton de Saint-Cyprien, arrondissement de Sarlat (Dordogne).

(69) Castelnau-sur-Dordogne, section de la commune de Castelnau et Fayrac, canton de Dome, arrondissement de Sarlat (Dordogne).

(70) Dome-Vieux, section de la commune de Dome, ut supra.

(71) Dans la liste des sénéchaux du Périgord pour le roi d'Angleterre, qu'il a publiée dans le Bulletin de la Société, t. XVIII, p. 427, M. Ph. de Bosredon, d'après Dessalles, les place dans l'ordre suivant: Bertrand de Cardaillac, Jean de la Linde, Humbert Guy. D'après le texte ci-dessus, Bertrand de Cardaillac semble devoir être placé entre Jean de la Linde et Humbert Guy. Plus loin, il est question de Hugues de Monteynard, qui parait être, comme sénéchal, le successeur de Humbert Guy.

(72) Probablement du Buisson.

Le Buisson, commune, canton de Cadouin, arrondissement de Bergerac (Dordogne).

(73) Arnaud du Verdier. — Dans la copie Grellet-Balguerie, au lieu de Arnaldum, il y a Raymundum.

(74) Dans la copie Grellet-Balguerie, au lieu de Alibi, il y a Albi; les deux mots sont aussi peu compréhensibles l'un que l'autre. Probablement faut-il lire Abbati. Il s'agirait alors de l'abbé de Sarlat.

(75) Dans la copie Grellet-Balguerie, au lieu de quinque milia, il y a quinquaginta milia.

(76) Mont-Dome, section de la ville de Dome, qui se trouve à côté de Dome-Vieux. (Mons de Doma: Dictionnaire de Gourgues.)

(77) L'abbaye de la Règle, où se trouve maintenant installé le grand séminaire à Limoges.

(78) Pour Solempniaco, Salignac, ancienne abbaye bénédictine.

(79) Saint-Junien, chef-lieu de canton, arrondissement de Rochechouart (Haute-Vienne). Ville qui eut jadis l'évêque de Limoges pour seigneur temporel.

(80) Saint-Vaury, chef-lieu de canton, arrondissement de Guéret (Creuse).

(81) Pierrebuffière, chef-lieu de canton, arrondissement de Limoges (Haute-Vienne).

(82) Forme latine de la ville de Tulle. (FB. Je pencherai plus pour Tutella; cf. Baluze)

(83) Gimel, commune, canton et arrondissement de Tulle (Corrèze).

(84) La Souterraine, chef-lieu de canton, arrondissement de Guéret (Creuse).

(85) Pomprignac (?). (FB. En marge, note manuscrite sur l’exemplaire de la BnF suggérant « peut-être Compreignac »).

(86) Pour Nobiliacum, Noblat, section de la commune de St-Léonard, chef-lieu de canton, arrondissement de Limoges (Haute-Vienne).

(87) Abbaye de Si-Martin de Limoges.

(88) St-Michel de Pistorie, église paroissiale à Limoges, aujourd'hui détruite, qu'on différenciait ainsi de celle de St-Michel-des-Lions qui existe encore près de l'ancienne préfecture.

(89) Lieu-dit, dans la banlieue immédiate de Limoges (FB. en marge note manuscrite: « près de l’église St Maurice)

(90) Abbaye de St-Martial à Limoges, aujourd'hui détruite et remplacée par le théâtre et lieux voisins.

(91) Ici il manque un mot, certainement abbas; en effet, nous trouvons dans la Gallia Christiana (Liste des abbés de St-Martial de Limoges): XXXIII. Guillelmus III de Mareuil obiit 1274 VIII kal. Martii.

(92) Peut-être Chalais.

(93) Peut-étre Magnanac. (FB. En marge note manuscrite: « ou encore Mensinhaco, Mensignac »)

(94) Badefol de Cadouin, commune, canton de Cadouin, arrondissement de Bergerac (Dordogne). Gaston de Gontaut IIe du nom, damoiseau, seigneur de Badefol et de St-Avit-Rivière, fils de Pierre, 1er du nom, chevalier, seigneur de Badefol et de Hélis de Castelnau (Courcelles.).

 (95) Peut-être: Caumonte.

(96) Peut-être Lestards, commune du canton de Bugeat, arrondissement d'Ussel (Gorrèze).

(97) Chaumeil, commune du canton de Corrèze, arrondissement de Tulle (Corrèze).

(98) St-Yrieix, chef-lieu d'arrondissement (Haute-Vienne).

(99) Chalucet, près de Chalus.

(100) Chalus-Chabrol, l'un des châteaux de Chalus, chef-lieu de canton, arrondissement de Saint-Yrieix (Haute-Vienne).

(101) Château-Chervix, commune du canton de Saint-Germain-les-Belles, arrondissement de Saint-Yrieix (Haute-Vienne).

(102) Courbefy, hameau, commune de St-Nicolas, canton de Chalus, arrondissement de Saint-Yrieix (Haute-Vienne}.

(103) Masléon, commune du canton de Châteauneuf-la-Forêt, arrondissement de Limoges (Haute-Vienne).

(104) La Trape, commune du canton de Villefranche-de-Périgord, arrondissement de Sarlat (Dordogne).

(105) Prats-de-Belvès (de préférence à Prats de Carlux), commune du canton de Villefranche-de-Périgord, ut supra.

(106) Besse, commune du canton de Villefranche-de-Périgord. ut supra.

(107) Lavaur, commune du canton de Villefranche-de-Périgord, ut supra.

(108) Dans la copie Grellet-Balguerie, il y a (ce qui est plus plausible), Salinaco, Salignac, chef-lieu de canton, arrondissement de Sarlat (Dordogne).

(109) Sermet, hameau, commune de Loubejac, canton de Villefranche-de-Périgord, ut supra.

(110) Cazals, chef-lieu de canton, arrondissement de Cahors (Lot).

(111) Probablement: pacis.

(112) Gramat, chef-lieu de canton, arrondissement de Gourdon (Lot).

(113) Loubressac, commune, canton de Saint-Céré, arrondissement de Figeac (Lot).

(114) Lentour, hameau de la commune de Mayrinhac-Lentour, canton de Saint-Céré, ut supra.

(115) Magnagues, hameau de la commune de Carennac, canton de Vayrac, arrondissement de Gourdon (Lot).

(l16) Segala, village, commune de Gramat, arrondissement de Gourdon (Lot).

(117) Autoire, commune, canton de Sl-Céré, arrondissement de Figeac (Lot).

(118) Padirac, commune, canton de Gramat, arrondissement de Gourdon (Lot).

(119) Salgues, hameau, commune d’Alvignac, canton de Gramat, ut supra.

(120) Mayrinhac-Lentour, commune d’Alvignac, ut supra. (FB. mention corrigée par une note manuscrite dans l’exemplaire de la BnF en « Mayrinhac-le-Francal, commune de Rocamadour, canton de Gramat »).

(121) Rignac, commune de Gramat, ut supra.

(122) Miers, commune, canton de Gramat, ut supra.

(123) Peut-être Mayrac, village, commune de St Sozy, arrondissement de Gourdon (Lot) 

(124) Aynac au diocèse de Périgueux. Il y a certainement erreur. C'est Aynac en Quercy, commune du canton de Lacapelle-Marival, arrondissement de Figeac (Lot).

(125) Soyries, hameau, commune de Caniac, canton de la Bastide-Murat, arrondissement de Gourdon (Lot).

(126) Goudou, village, commune de la Bastide-Murat, ut supra.

(127) Probablement pacis.

(128) Salignac, chef-lieu de canton, arrondissement de Sarlat (Dordogne).

(129) St-Aubin-de-Nabirat, commune, canton de Dome, arrondissement de Sarlat (Dordogne).

(130) Léobard, commune, canton de Salviac, arrondissement de Gourdon

(131)  La Fontade, ancien fort près de Saarlat (Dict. de Gourgues) (FB. note manuscrite dans l’exemplaire de la BnF qui corrige en « La Fontade, Cne du Con et arr. de Gourdon »)

(132) Loupiac, commune du canton de Gourdon (Lot)

(133) Costeraste, village, commune de Gourdon, ut supra.

(134) Le Pradel, commune de Léobard, canton de Salviac, arr. de Gourdon (Lot)

(135) Las Prencinas, inconnu

(136) Nalhac, dit Losyancal, inconnu

(137) Hymat Garda, inconnu

(138) Peut-être Acerio, Assier, commune, canton de Livernon, arrondissement de Figeac (Lot).

(139) Blars, commune, canton de Lauzès, arrondissement de Cahors (Lot).

(140) La Bastide-du-Haut-Mont, commune, canton de Latronquière, arrondissement de Figeac (Lot).

(141) Orniac, commune, canton de Lauzès, arrondissement de Cahors (Lot).

(142) Rouffilhac, commune, canton et arrondissement de Gourdon (Lot). (FB. note manuscrite dans l’exemplaire de la BnF qui corrige en « Roussillon, fort-château, commune de Maxou, canton de Catus, arrondissement de Cahors (Lot) »)

(143) Valroufié, commune, canton et arrondissemant de Cahors (Lot).

(144) Montamel, commune, canton de Saint-Germain, arrondissement de Gourdon (Lot). (FB. note manuscrite dans l’exemplaire de la BnF « Mels, hameau, commune de Lamagdeleine, canton et arrondissement de Cahors (Lot) »)

(145) Corn, commune, canton de Livernon, arrondissement de Figeac (Lot).

(146) Peut-être Bederio, Beduer, commune, canton de Figeac (Lot).

(147) La Barde, hameau, commune de Léobard, arrondissement de Gourdon (Lot).

(148) Peut-être Rodas, ancienne tour noble, commune et canton de St-Cyprien, arrondissement de Sarlat (Dordogne). (FB. note manuscrite dans l’exemplaire de la BnF « Rodar ou plutôt Roudelle, village de la commune de Capdenac le haut, canton et  arr. de Figeac)

(149) Peut-être Lanquais, commune, canton de La Linde, arrondissement de Bergerac (Dordogne). (FB. note manuscrite « Lantouy, près de St-Jean-de-Laur, commune du canton de Cajarc, arr. de Figeac (Lot), actuellement connu par un gouffre »).

(150) Cours, commune, canton de Saint-Gery, arrondissement de Cahors (Lot). (FB. en note manuscrite « Il y a dans le texte original: Vivianum de Turre »)

(151) Montcabrier, commune, canton de Puy-l'Evêqne, arrondissement de Cahors (Lot).

(152) Cassagnes, commune, canton de Cazals, arrondissement de Cahors

(153) Saint-Caprais, commune, canton de Cazals, ut supra (FB. note manuscrite «Saint-Caprais de Marnac, commune de Montcabrier, canton de Puy-l’Ev^que, ut supra »).

(154) Peut-être Cabanhaco, Cavagnac, hameau, commune de Soturac, canton de Puy-l'Evêque, arrondissement de Cahors (Lot).

(155) Pestilhac, village, commune de Montcabrier, canton de Puy-1'Evêque, ut supra.

(156) Ou Oltum. Formes latines de la rivière du Lot. La plus usitée est Oltis.

(157) Rocamadour, commune, canton de Gramat, arrondissement de Gourdon (Lot).

 

 

 

En 1310, Paul Huet publia d’autres chartes et en profita pour apporter quelques corrections.

 

ADDITIONS ET RECTIFICATIONS AUX NOTES DE L'INFORMATION DE 1310.

 

Nous profitons de l'impression de cette charte pour apporter quelques rectifications au texte et aux notes de l'information de 1310, publiée en 1902.

Nous sommes très reconnaissant à M. le marquis de Cumond, au comte de Saint-Saud, à M. Champeval d'avoir bien voulu noua signaler les erreurs qui se sont glissées dans nos identifications.

 

Modifier la note 24 ainsi qu'il suit: Hôpital de Saint-Antoine dn Pizou, village de l'ancien diocèse de Périgueux, aujourd'hui du département de la Gironde. Cest un des membres de la commanderie générale de Saint-Antoine de Mirand (commune de Cumond) appartenant à l'ordre hospitalier de Saint-Antoine de Viennois.

Modifier la note 25 ainsi qu'il suit: Pizou (le), oommune du canton de Montpon, arrondissement de Ribérac (Dordogne).

Note 6, ligne 2. — Après: Châtellenie d'Yviers; ajouter: (Charente).

Note 4, ligne 2. — Au lieu de: (Dordogne); lire: (Gironde),

Note 4, ligne 6. — Au lieu de: Monteynard; lire: Montmeynard.

Ligne 10. — Au lieu de: invitatis; lire: civitatis.

Ligne 21. — A propos de: de Quadris; mettre en note: des Cars.

Note 3. — Au lieu de: Salignac; lire: Solignac.

Note 12. — Au lieu de: Pomprignac (?); mettre: p. e. Lompreignac.

Note 4. — Ajouter à la suite de cette note: près l'église Saint-Maurice.

Note 2. — Ajouter à la suite de cette note: ou encore, Mensinhaco, Mensignac.

Note 3, ligne 3. —  Au lieu de: St-Avit; lire (d'après M. Champeval): Saint-Avit-Rivière.

Ligne 4. — A propos de: Bosseran; mettre en note: Bousseran, commune de Pontours, canton de Cadouin, arrondissement de Bergerac (Dordogne).

Note 12. — Ajouter à la suite de cette note: ou mieux, commune du Vigan, canton et arrondissement de Gourdon (Lot).

Modifier la note 5 ainsi qu'il suit: Roussillon, fort château, commune de Maxou, canton de Catus (Lot).

Note 11. — Ajouter à la suite de cette note: ou encore, Rodelar, ou plutôt, Roudelle, village de la commune de Capdenac-le-Haut, canton et arrondissement de Figeac (Lot).

Modifier la note 12 ainsi qu'il suit: Peut-être Lantouy, près St-Jean-de-Laur, commune et canton de Carjac, arrondissement de Figeac (Lot). Actuellement connu par un gouffre.

Note 13. — Ajouter à la suite de cette note: ou encore. Les Cours, commune de Saint-Cirques, canton de La Tronquière, arrondissement de Figeac (Lot).

 

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