<<Retour

 

Dîmes du Port et du Breuilh

______________________

 

(1)     Document manuscrit

(2)    Transcription

 

 

Nous avons souhaité à l’occasion de cette présentation que le lecteur courageux puisse se familiariser avec l’écriture de ces manuscrits.

Nous avons procédé à un traitement de « nettoyage » par logiciel de la copie de l’archive, et nous avons placé en regard, ligne à ligne, la transcription qui en a été faite.

St Méard est la seule paroisse des bords de Dronne, dont le territoire se partage entre les deux rives, les terres du Port et du Breuilh formant une sorte d’appendice entre Celles et Saint Victor, le long du ruisseau du Jaley, jusqu'aux abords de Montardy et de Grand-Brassac. La construction du pont de Saint Méard sous le Second Empire a permis de rompre cet isolement.

Avec une légère arrogance et quelque esprit de dérision, les habitants du bourg avaient autrefois coutume d’appeler cette partie de la commune « La Rhénanie », ironisant ainsi sur son éloignement.

==> Le Port et le Breuilh (source : cadastre napoléonien / archives de la Dordogne)

 

Commentaires d’André Gaillard

__________________________

 

Par Jean mayent curé de st méard et par jean de roche greffier habitant de douchapt agissant pour le compte de l'abbé de peyrouze au bénéfice de :

·        hellies de seyrou laboureur au port

·        leonard dupeyrou laboureur au port

·        jean puypeyroux tailleur d'habit au breuilh

·        jean neulet marchand drapier a brassac

·        chacun pour ¼

pour, par an :

·        17 charges de bled

·        2/3 de froment

·        1/3 en fèves, avoine, baillarge

Questions :

·        Quelle était la part du curé, et de l'abbé de Peyrouze?

·        Comment les 4 fermiers pouvaient ils s'arranger entre eux?

·        Comment ces fermiers faisaient-ils rentrer cette dîme et que gardaient-ils pour eux?

Rien ne précise quelle était la part de chacun.

 

<<Retour